Turquoise... Le cylindre de pâte colorée glisser doucement le long de ses lèvres. Satisfait de la finesse du trait dans le miroir, Lucille Steintitten, que tous appelle Madame, se félicite d'avoir fait main mise sur le Chloromathinarium.
Grâce à l'appui d'une petite génie de la chimie fourni par la Maison et la source inépuisable de gaz, toute une série de cosmétique allait bientôt déferler sur les niveaux d'en haut. Se laissant aller à la rêverie, elle voit déjà son turquoise détrôner dans les festivités de la spire l'immuable orange et bleu de la Ruche.
Un faible mouvement dans sa vision périphérique la faire redescendre dans les bas-fond. Au coin des sanitaires, une jeune fille recroquevillée retient ses larmes.
- "C'est bien petite, maîtrise ta rage, reprends toi un peu, et viens me voir, j'aurai des choses à faire de toi."
Son regard devient dur comme le plastacier lorsqu'elle baisse le regard sur l'amas de chair boursouflé épinglé au sol par son talon aiguille.
Alors qu'elle retire cette pointe de ce qui était il y a encore quelques minutes une main prête à frapper une jeune fille, un grognement de douleur se fait entendre.
- "Et toi, tu peux t'estimer heureux de pouvoir utiliser ton autre main, t'en aura besoin pour tenir ta paille !".
La réponse n'est pas claire, brouillée par la flaque mêlée de salive et de sang et les incisives qui y baignent à quelques centimètres de la bouche du type mais qu'importe, le message semble être passé.
Après une ultime vérification de sa coiffure dans le miroir, Madame passe la porte qui la conduit dans un bouge miteux à l'air si chargé qu'on pourrait en découper des cubes pour les respirer plus tard.
A gauche de la porte, un colosse tout en muscle fait rapidement face à l'Escher.
Avec empressement, il lui tend un cigare presque neuf, et s'empresse de l'allumer tout en conservant un regard tourné vers le sol.
- "Ça lui va bien ce p'tit haut en résille... J'ai bien fait de ne pas lui proposer de choix lorsqu'on l'a récupéré de ces abrutis de Goliath" se dit-elle.
De nouveau, un sourire se dessine sur son visage lorsqu'elle repense à la bonne idée qu'elle avait eu sur la question des prisonniers faits lors des "interactions" avec les autres gangs.
Pour chaque captif mâle non rançonné, elle proposait un choix simple : Travailler pour le gang au Chloromathinarium, ou rester au sein de gang pour réaliser tous les travaux qu'elle estimerait nécessaires. Elle réduisait souvent ce choix à "tes poumons ou tes bourses ? ".
- "C'est fou ce que ces mâles préfèrent perdre leur poumons tout de même" s'étonne-t-elle intérieurement.
- "J'ai bien fait de ne pas lui laisser le choix à celui là..." s'avoua-t-elle après avoir admiré de nouveau l'ancien Goliath. "ça aurait été dommage de ne pas en profiter un petit peu".
En approchant du comptoir, le patron lui tend un verre provenant d'une réserve particulière. Elle le vide d'un trait.
- "Les autres gangs sont déjà en marche, faut pas qu'on rate le coup d'envoi, on aura du mal a suivre... Allez Poupette, on s'arrache et on rassemble les filles !".
Sur ce, Madame quitte le troquet pour s'engouffrer dans le Sous-Monde suivi de Poupette, une centaine de kilos de muscle garanti sans testostérone.
Réponses
Grâce à l'appui d'une petite génie de la chimie fourni par la Maison et la source inépuisable de gaz, toute une série de cosmétique allait bientôt déferler sur les niveaux d'en haut. Se laissant aller à la rêverie, elle voit déjà son turquoise détrôner dans les festivités de la spire l'immuable orange et bleu de la Ruche.
Un faible mouvement dans sa vision périphérique la faire redescendre dans les bas-fond. Au coin des sanitaires, une jeune fille recroquevillée retient ses larmes.
- "C'est bien petite, maîtrise ta rage, reprends toi un peu, et viens me voir, j'aurai des choses à faire de toi."
Son regard devient dur comme le plastacier lorsqu'elle baisse le regard sur l'amas de chair boursouflé épinglé au sol par son talon aiguille.
Alors qu'elle retire cette pointe de ce qui était il y a encore quelques minutes une main prête à frapper une jeune fille, un grognement de douleur se fait entendre.
- "Et toi, tu peux t'estimer heureux de pouvoir utiliser ton autre main, t'en aura besoin pour tenir ta paille !".
La réponse n'est pas claire, brouillée par la flaque mêlée de salive et de sang et les incisives qui y baignent à quelques centimètres de la bouche du type mais qu'importe, le message semble être passé.
Après une ultime vérification de sa coiffure dans le miroir, Madame passe la porte qui la conduit dans un bouge miteux à l'air si chargé qu'on pourrait en découper des cubes pour les respirer plus tard.
A gauche de la porte, un colosse tout en muscle fait rapidement face à l'Escher.
Avec empressement, il lui tend un cigare presque neuf, et s'empresse de l'allumer tout en conservant un regard tourné vers le sol.
- "Ça lui va bien ce p'tit haut en résille... J'ai bien fait de ne pas lui proposer de choix lorsqu'on l'a récupéré de ces abrutis de Goliath" se dit-elle.
De nouveau, un sourire se dessine sur son visage lorsqu'elle repense à la bonne idée qu'elle avait eu sur la question des prisonniers faits lors des "interactions" avec les autres gangs.
Pour chaque captif mâle non rançonné, elle proposait un choix simple : Travailler pour le gang au Chloromathinarium, ou rester au sein de gang pour réaliser tous les travaux qu'elle estimerait nécessaires. Elle réduisait souvent ce choix à "tes poumons ou tes bourses ? ".
- "C'est fou ce que ces mâles préfèrent perdre leur poumons tout de même" s'étonne-t-elle intérieurement.
- "J'ai bien fait de ne pas lui laisser le choix à celui là..." s'avoua-t-elle après avoir admiré de nouveau l'ancien Goliath. "ça aurait été dommage de ne pas en profiter un petit peu".
En approchant du comptoir, le patron lui tend un verre provenant d'une réserve particulière. Elle le vide d'un trait.
- "Les autres gangs sont déjà en marche, faut pas qu'on rate le coup d'envoi, on aura du mal a suivre... Allez Poupette, on s'arrache et on rassemble les filles !".
Sur ce, Madame quitte le troquet pour s'engouffrer dans le Sous-Monde suivi de Poupette, une centaine de kilos de muscle garanti sans testostérone.
Avec des couettes XD
Il faut encore que je trouve la fig qui convient. Si vous avez des idées, envoyez moi ça en pm
296 pts sur 2020 - 300pts sur 2019
Instagram du Kirou
Moi aussi je te kiffe L_Ancien